En novembre 2009, notre association avait diffusé son bulletin d'information "spécial déchets" accompagné d'un StoPub à l'ensemble de la population sermaisienne. Opération réussie car deux ans plus tard, c'est maintenant près du quart de la population qui a opposé un refus de publicité sur sa boite à lettres. Les autocollants avaient été entièrement financés par l'association. Nous avons demandé (pour la première fois depuis la création de notre association) à la commune une participation de 50% du coût d'achat, soit 75€. Il s'agissait d'une participation à un projet d'intérêt général et non d'une demande de subvention de fonctionnement dont nous n'avons nullement besoin. Cette participation nous a été accordée et réglée cette année. Nous remercions la municipalité. Depuis deux ans, c'est 12 tonnes de publicité non distribuée, soit un gain pour la collectivité de 4500 € pour 75 € investis, soit un retour sur investissement en quelques semaines. (Qui fait mieux ! ). Simultanément, la réduction compensatoire de la taxe d'enlèvement des ordures ménagères demandée au SICTOM nous a été refusée. Soi-disant trop compliquée à mettre en place. De surcroît, par mesure de rétorsion, le SICTOM refuse de distribuer son journal d'information sur notre commune ( une distribution accompagnée de publicités d'autres annonceurs ) et le met à disposition à la mairie (décision parfaitement illégale ); La commune nous a informé de cette décision dans son dernier bulletin, sous-entendant que la faute en revenait à l'association. Un comble. Tout cela est irresponsable. Il ne serait pourtant pas difficile pour le représentant de notre commune dans ce syndicat, d'exiger du SICTOM qu'il distribue  son journal d'information sans publicité.( ce journal peut d'ailleurs être téléchargé sur le site du SICTOM ). Autre solution, la municipalité de Sermaise pourrait se charger de cette distribution  en même temps que le journal d'information  communal, comme cela se fait dans les communes avoisinantes (Roinville et Les Granges-le-Roi, par exemple).
Pour que ces solutions alternatives de bon sens puissent voir le jour, faudrait-il que les uns et les autres cessent une bonne fois pour toutes de croire et prétendre qu'ils détiennent la vérité pour justifier leur immobilisme.